dimanche 27 janvier 2013

Fin d'année 2012 (Part 1)

Putain d’année 2013 !!




  Et me voilà, 5h30 du mat devant ma machine à écrire…j’aurai peut-être pu me trouver en bien meilleure posture et accompagné. Mais le sort en a décidé autrement !Heureusement cette année 2012 s’est terminée en trombe. Et c’est ce que je vais tenter de résumer. 

   Je ne sais pas encore si cela fera l’affaire d’un, deux voir même trois post. Mais ce qui est sûr c’est que je vais l’écrire maintenant. Allez savoir pourquoi mais je ne peux écrire qu’en nocturne. Et depuis quelques temps, je n’ai pas vraiment eu un moment à moi pour écrire une seule ligne -seule exception mon field repport sur la soirée P1 que je viens a peine de terminer-.

  La soirée P1 parlons-en. Rappelez-vous la petite Marie qui m’avait gentiment donné son numéro de téléphone sans que j’en demande autant.  Et bien la brave m’a ajouter sur facebook avant même que je lui envoie un message de prise de contact…toi tu veux goûter aux folies nocturnes griffées Ace ! Après mon message nous décidons de nous voir pendant les vacances. Ne voulant apparemment rien laisser au hasard, elle me propose deux jours plus tard que l’on se voit dans la semaine. « Ok, j’habite non loin de la gare, dis-moi quand t’arrives et je viendrai te chercher ». Mon plan était bien huilé – si j’ose m’exprimer ainsi… –, après la bise de rigueur je l’emmène directement au petit supermarché à côté de chez moi. Sans rien expliquer en rentrant je lui dis : « t’es plutôt bière ou rosé ? ». Rosé ? ok ça sera cabernet d’anjou , d’ailleurs si vous ne connaissez pas, je vous donne un tips, c’est un rosé qu’on trouve à ED et qui est très fruité, les filles en raffolent ! Une fois propriétaire de la bouteille direction ma garçonnière mon appart sans plus tarder. Bla bla, deux/trois verres entrecoupés de quelques clopes ; une petite démo de crooneur guitare en main et elle était déjà assise à califourchon au-dessus de mon manche de guitare personnel. Je vous passe les détails mais il s’avère que nonobstant son jeune âge, la jeune fille savait merveilleusement bien se servir de sa bouche…comme quoi : « les jeunes de nos jours, c’est plus ce que c’était ! » :p  Je compris au cours notre conversation d’après baise que la coquine était un peu nympho sur les bords… et une bonne pioche pour Ace ! C’est pourquoi je n’eue pas de la voir s’enfuir en lui apprenant que j’étais coach en séduction. Elle se prit même au jeu en me demandant « et à partir de maintenant ça sera à qui enverra  le premier message c’est ça ? » ; « c’est ça ! J ». Bon je vous avoue qu’elle a tenu un jour…soit elle a la volonté d’un accroc au crack qui a été sevré pendant deux mois, soit je suis en ce moment complètement irrésistible ! Perso, j’aime à défendre la seconde hypothèse…et la suite des aventures va me donner, à mes yeux,  100% raison.

  Ah oui ! J’oubliais d’ailleurs un autre élément prouvant ma bonne étoile du moment. La veille j’avais revu Fab’ mais dans son élément : c’est-à-dire sa ville étudiante qui est son terrain de jeu nocturne depuis quelques années et qui abrite depuis peu Simba que j’ai d’ailleurs invité à notre petite sauterie. Là-bas j’ai toujours pensé que c’était plus facile de croquer des bouches au vu de la quantité de gazelles qui déambulent dans les rues tout au long de la semaine. Et je ne fus pas déçu quand, au sortir d’un bar de la rue la plus fréquentée de la ville, deux filles s’approchèrent de nous : une moche, une fraîche. Je vous le donne dans le mille, je me tourne machinalement vers la jolie en lui disant qu’elle s’est déguisé en « petit chaperon noir ». Elle avait en effet une des nouvelles « vestes/capes » à la mode en ce moment, mais en noir. Bon elle n’a pas percuté tout de suite donc je commence à lui expliquer ce qui me permet de nous détacher de la conversation générale tenue entre le groupe et sa copine. Elle comprit une fois que deux de ses neurones s’entrechoquèrent…ça m’a bien pris 2 minutes d’attentes ! ^^  Mais celle-ci surenchérie :
 - Ah mais en plus j’ai failli mettre ma robe rouge
 - Oui mais là c’est noir, et en plus tu la pas mise au final ta robe…par contre t’as mis un rouge à lèvre bien rouge (je vous jure, un rouge pétant qui veut dire « viol moi tout de suite contre un mur !») … d’ailleurs, elles ont l’air bien sympa tes lèvres.
 - Ben viens les tester…
Ni une ni deux je fondis sur sa bouche et la plaqua contre le mur qui était à 2 mètres tout de même…elle a dû prendre chère lors de l’impact la pauvre. Mon pote Fab la surnomma – affectivement ? – la folle lorsque je lui dis qu’elle m’avait mordu la langue. Donc bonne étoile pour le bisou, ou mauvaise à cause de l’état de ma langue après coup? Je vous laisse seuls juges avec ce qui suit.

  Oui, revenons-en à nos moutons. Le jour même de mon rendez-vous avec Marie, je suis sorti dans un bar et une boîte que j’affectionne à une dizaine de minute à pied de mon domicile. Le temps de croiser de longs regards avec une petite blonde magnifique dans la boite. Ces regards insistants que je ne lâchais pas en disaient longs sur ses intentions à mon égard. Seulement, elle était accompagnée d’un obstacle, la fameuse copine ! Pour résumer il faut faire attention au nombre de filles qu’il y’a dans le groupe avant d’aborder. Là elles sont deux, si je branche ma petite blonde tout seul, il y’a fort à parier que sa copine ait les boules que vous lui preniez sa pote car elles sont censées « passer la soirée ensemble ». C’est pourquoi on voit souvent les filles qui viennent de se faire accoster se faire tirer la main par leurs connasses d’amies. Mais le subterfuge est simple, déjà j’ai du mal à croire que des filles qui sortent en boites à deux veulent « rester ensemble »…elles veulent juste se trouver chacune un beaugoss pour la soirée. 
  Il faut donc appeler un pote pour qu’il  puisse occuper notre obstacle assez de temps pour faire nos affaires. J’appelle donc au secours mon fidèle Tit’ pour se charger de cette tâche ingrate. Nous voilà donc près pour la bataille, sauf que je n’ai pas d’opener ! Eh merde j’y vais, c’est pas grave je trouverai bien sur le chemin...rien ne vient alors je lui lance un « salut ! » avec un gros sourire tout en me positionnant face à elle pour danser avec. Je vous avoue  que je pense ne jamais avoir abordé aussi mal…mais avec autant de regards et de signes d’intérêts que j’avais pu décrypter auparavant, il était dur de se rétamer. Je vois Tit’ qui galère avec la copine, ça se corse…ah non c’est bon, Tit’ ne lui parle plus mais elle nous laisse tranquilles. Si ça ça ne veut pas dire que ma petite blonde l’avait briffée sur mon cas peu avant, je ne suis pas Ace coach en séduction ! Effectivement c’était déjà clair dans la tête de tout le monde, après un petit collé serré, je profitais du plaisir que mêler nos deux langues nous procurait. Après quelques minutes de bonheur, je lui dis – grand seigneur…quel con en fait ! – que j’allais un peu la laisser profiter de la soirée avec sa copine.
  Au final je n’ai pas pu la gamer plus que ce court instant, insuffisant pour lui donner envie de me revoir. Le résultat s’en fait sentir au moment où je la rattrape juste avant qu’elle ne sorte de la boite, pas de facebook ni de numéro…je lui ai donc proposé que l’on s’envoie des signaux de fumée, elle avait l’air d’accord sur le principe. Pour le moment je n’ai contacté aucun indien pour qu’il m’apprenne les bases de son moyen de communication. J’ai préféré me bouffer les couilles de rage en pensant que c’était bien plus court et de situation J. Non sans déconner cette fille était un 8, voir même un 9 –…allez un 8,5 ; coupon la poire en deux–, en plus de ça elle devait avoir un cerveau, en témoigne son actuelle cinquième année d’étude de pharmacie. Je vais retenir de cela que les filles au top doivent être un peu plus considérées en soirée que les banales 6/7  – la preuve, au moment où j’écris ces lignes je ne me souviens même plus son prénom… –, à bon entendeur !


  Le lendemain soir, c’est Dirt et Simba qui m’accompagnent dans un bar. Simba devait y rejoindre deux amies à lui que j’avais déjà rencontré le temps d’une soirée sans pouvoir vraiment les travailler. Pourtant, Charlotte m’avait été promise par Simba car elle était d’après lui en recherche d’un « bon plan cul ». Mais depuis notre première rencontre, quelques conversations facebook et plus rien. Elle a même déménagé dans la capitale, ce qui lui a donné la mauvaise manie de ne plus répondre à mes relances facebook. Oui car je comptais entretenir un peu l’affaire pour n’avoir plus qu’à la cueillir une fois la belle redescendue voir ses parents. J’étais donc un peu dans l’expectative concernant son cas pour cette soirée. Car dans un premier temps l’autre ne m’intéressait pas des masses, et j’ajoute à cela que Charlotte est danseuse… j’ai quand même bien envie de tester si la légende concernant les aptitudes sexuelle des danseuses est fondée. D’un avis strictement personnel je vais vous dire que oui…mais il se peut que, dansant moi-même exceptionnellement bien, je sois un tantinet subjectif, rien que ça !
  Toujours est-il que la soirée se passe sans qu’il ne puisse y avoir un rapprochement physique quelconque. Sur la piste de danse Simba les connaissant depuis longtemps  – en tant qu’« amies » – jouait de ça pour avoir une place privilégiée au plus proches de nos deux invitées de la soirée. J’ai quand même bien parlé avec Charlotte et avant de partir elle fût la seule des deux à venir me voir pour me faire la bise avec une promesse que l’on essaierait de se capter avant son départ.
Mais la soirée n’étant pas finie, je regarde l’heure : « Damned ! Il est trop tard pour rentrer à l’œil en boite !».
  Je me dirige donc devant le bar pour demander une clope à un couple (dans le sens numérique du terme) qui n’avait rien à voir ensemble. Je vous présente à ma gauche : petit blondinet blanc bec faisant  au moins 30/35 ans avec un gros manteau ¾ de pervers-exhibitionniste. Et à ma droite : jeune fille toute mignonne vêtue d’un beau chapeau, avec la panoplie robe, collant, talon [RCT] qui me fait toujours chavirer lorsque c’est combinée avec de belles jambes fuselées comme c’était le cas. En essayant de rester objectif c’était un bon 7,5…mais c’est dur d’être objectif devant autant de style ! ^^
  L’homme m’offrit gracieusement une clope, et après avoir quelque peu discuté avec eux je compris qu’ils ne se connaissaient pas et qu’elle attendait juste une copine. Entre temps Dirt est arrivé, et après quelques mots avec les deux personnes, nous entamions une discussion avec deux jeunes Québécoises rencontrées dans la foulée. Bon elles n’étaient pas top – euphémisme quand tu nous tiens !! – mais j’espérais ainsi rendre jalouse ma belle au chapeau. Après moult débats franco-québécois sur les différences de parler, je cherche mon pack RCT qui avait apparemment retrouvé son amie et qui buvait tranquillement son verre en terrasse. Putain mais elles doivent carrément se faire chier sans moi, et si j’allais les emmerder un peu ! Aussitôt dit, aussitôt fait ; Dirt et moi entrent en action et s’imposent à leurs table. « Alors t’as retrouvé ta pote ?». De blabla en blabla, j’aperçois un magazine féminin dans son sac. Je m’empresse de lui prendre et commence à parler des articles présents sur ce numéro. Merde pas d’article sexe en vue ! Bon tant pis, ça lui a au moins fait sortir un stylo pour qu’elle puisse griffonner une fille apparaissant dans une des pubs – espèce de jalouse ! – manque plus qu’un papier et le numéro est à moi. Elle me parle de ses études et me dit de lui laisser son numéro au cas où elle pourrait  m’embaucher si elle accède au poste qu’elle veut. Apparemment elle compte faire ça avec tous ses proches ; ça lui a parût, je pense, l’excuse la plus crédible pour récupérer un numéro de téléphone. Je ne me fais pas prier mais lui laisse en l’écrivant sur la deuxième page du magazine histoire d’être un peu original et ne pas me rajouter à la liste des nombreux inconnus qu’elle ne rappellera jamais qui doit peupler son répertoire…
  Par la suite, la mode était aux tatouages fais au stylo sur la main. Mme Chapeau…Solène en fait, dessinait donc un cœur sur la main de sa copine. Trouvant cette approximation de cœur que peu réussie, après lui en avoir fait part, je lui soutins que je pouvais faire bien mieux et m’exécute cinq secondes plus tard sur sa main. Devant mon chef d’œuvre, elle se décide à faire passer ma main au rayon des victimes de son art comptantpourrien…oui bon il est 8h16 et j’ai fait nuit blanche, ça me donne le droit à une blague pourrie au moins ! Mais la petite sentie peut être que l’on n’avait pas la même notion du beau, c’est pourquoi elle me fit une œuvre constitué d’un certain nombre de chiffre…une dizaine à vue d’œil ;)

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