lundi 1 juillet 2013

Gestion des neiges... (Part 2)


  Nous sommes deux jours plus tard, je monte sur la ville où habite Maurine...mais! Magie du hasard, c'est aussi la ville de résidence de mon pote Fab. Nous partons donc dans une session SPU en mode "crash and burn". Pour les néophytes, on résumera ça à démarcher un peu crûment le plus de filles possibles ;)

   Nous voilà donc dans ce centre ville piéton aux aguets de doux visages trônant sur des tailles de guêpe... Bon l'offre n'était pas vraiment au niveau de la demande, donc loi du marché oblige, on a dû revoir à la baisse nos attentes! De plus, nos approches étant des plus crues, le taux de réussite fût proche du zéro -il était de zéro en fait-. Pourtant nous avons cherchés de partout. 
  Par exemple, lors d'un petit débriefing au détour d'une rue, un jeune homme sort d'un hall d'appartement. Fab' lui lance un "salut! il y a des filles dans l'immeuble?". Ce à quoi l'inconnu nous réponds: "ah mais tu parles des colloc' du dernier!". Flairant le bon filon, je lui explique que nous devons aller chez elles mais qu'elles ne répondent pas au portable...et si il est donc possible qu'il nous ouvre. C'est donc à la surprise générale que notre SPU se transforme en APU, jamais encore développé dans le monde du game...nous sommes de vrais pionniers en la matière!
  Nous voilà donc au 4ème étage: eh oui, on transpire pour le game!. Devant la porte de ces fameuses colloc'. Malheureusement, les petites n'étaient pas très coopératives et nous ont laissés à la porte. Pourtant, l'une d'elle sortait de la douche...moment propice pour une rencontre avec le sexe opposé car encore en peignoir!
  Enfin! Avec tout ceci, nous décidâmes de modérer nos dires avant que cette session ne se termine. Et ce fût un pari payant vu que sur les deux/trois groupes abordés de façons plus "light", l'un d'eux composé de deux filles plutôt pas mal, nous a gentiment donné leur numéro...bon pour tout vous dire, je lui ai noté le mien sur son téléphone et je me suis fait sonné comme un fourbe; mais au vue de la suite de la soirée, ça comptes!

Quelques petites photos du SPU:







   Nous rentrons donc un peu bredouille chez Fab mais avec la ferme intention de se rattraper le soir venu. Pendant la journée j'avais vu Maurine et lui avait laissé ma veste pour éviter que la belle attrape froid. En repartant de chez Fab, je l'appelle donc dans le but de récupérer mon bien car la nuit s’annonce plutôt "frisquette". En passant au bar où elle se trouve, je vois nombre de jolies filles, mais l'ambiance "soirée entre copines autour d'un verre" me fait fuir, d'autant plus que je me refuse de fréquenter une copine d'une de mes relations, du moment que celle-ci est toujours d'actualité...


  Le SPU continu donc en mode nocturne. Seulement le lundi soir il n'y a pas grand monde dans les rues. C'est ainsi qu'au bout de deux heures à errer par-ci, par-là sans trouver plus d'une douzaine de gazelles, j'eu la bonne idée de recontacter les filles auxquelles j'avais "arraché" le numéro quelques heures auparavant. J'appel donc les belles à qui nous avions proposé de se revoir après leurs dîner. Ça sonne, et magie, elle répond! Je propose donc que nous nous retrouvions à la place la plus connue de la ville pour décider de la suite des événements. Une fois retrouvées, et après une petite discussion d'une banalité affligeante, je propose d'aller acheter une bouteille et de se poser chez Fab autour d'un verre. Après avoir passé la case alimentation de nuit , nous voilà dans l'appart' quand je reçois un texto de Maurine qui me dit quitter ses copines d'ici peu. Allez petite, ramènes toi ici: plus il y a de folles et plus on rit. Une fois arrivée et deux/trois verres engloutis je propose donc à Maurine de visiter l'appart.
  La visite se finit évidemment dans la chambre de Fab où la lumière est hors-service...dommage! Je commence donc à chauffer l'affaire jusqu'à passer à l'horizontale sur le lit. Mais là, la belle me sort un:
-Non mais on va rien faire ce soir:
-Comment ça? C'est la mauvaise semaine? (Seule raison valable à mes yeux pour empêcher un coït des plus intenses).
 -Oui déjà...et puis même, je préfère pas que ça soit aussi rapide.
-Ahah! Mais faut arrêter de dire ça les filles! (Oui j'ai déjà trop entendu cette phrase avant de me retrouver entre leurs jambes)...bon comme tu veux, alors retournons avec eux.

  Nous regagnons le salon et là, problème du manque d'alcool vint d'un coup perturber la soirée. Maurine et "le plexi" (surnom donné à l'une des deux filles rencontrées durant la journée, car elle était livide puisque complètement défoncée par une drogue encore non déterminée). Il restait donc sa copine que Fab gamait depuis nos retrouvailles de fin de soirée. Elle était plutôt pas mal...avec le string apparent qui me lui fît dire: "hey! t'as mis des bretelles ce soir?" parlant des ficelles qui sortait de son jean. La petite n'avait pas forcément apprécié la blague et remis son dessous à sa place initiale. Le temps se faisant long, Fab commençait à en avoir marre car la petite au string n'était pas des plus coopératives avec lui même lorsque je les avaient laissé en tête à tête. Fab me prend donc en aparté dans la chambre pour qu'on vire tout le monde (il bossait à 9H le lendemain et il était déjà bien 3H du matin). La petite au string se ramène dans la chambre avant qu'on ne puisse terminer notre conversation:
-Qu'est ce que vous faîtes?
-On se fait des bisous...si tu veux venir il faut participer, ça t'intéresses?
-Ah non!
-Dans ce cas il va falloir nous laisser à notre soupe de langues jeune fille.

  Bon, nous revenons dans le salon et j'explique la situation à "string fou". Quelques minutes plus tard, "plexi" et Maurine reviennent avec deux bouteilles. J'expose donc l'impossibilité de rester et Maurine propose donc d'aller chez elle...même si sa coloc' dormait, elle nous dit qu'il y'avait un petit coin d'herbe où se poser en bas de son immeuble. Un taxi plus tard, nous voilà sur ce dit coin autour de chips et vin.

  "Plexi" et "string fou" ne tardent pas et partent au bout de trois quart d'heure. Maurine et moi restons donc à terminer la première bouteille, refaisons le monde, et parlons de nos vies respective. J'apprend donc beaucoup d'elle et des galères qu'elle a vécu. J'avoue que ça me touche pas mal et que je n'ai qu'une envie c'est de la prendre dans mes bras dès qu'elle m'explique une nouvelle déboire qu'elle a pu vivre.  Je m'exécute donc et les corps se font de plus en plus chauds. La discussion dérive vite sur le cul et je ne sais plus comment cela a dérivé...mais 10 minutes plus tard j'étais adossé à un arbre avec la petite Maurine s'évertuant à faire de la gorge profonde agenouillée face à moi. S'en est suivie un levrettage dans les règle de l'art et d'autre position dont seule une ancienne danseuse comme elle pouvait avoir le secret.

  Voilà! l'affaire était donc pliée - si je peux m'exprimer ainsi...- et je finis ma nuit dans son lit qui me semblait tourner dans tous les sens. Pour cause, la seconde bouteille de vin n'était plus qu'un cadavre au moment de monter dormir.

  Ah et j'eu la -bonne?- surprise de voir que Maurine n'avait pas menti concernant sa période menstruelle. Le lendemain en rentrant dans ma ville, je passait voir mon plan cul régulier histoire de faire une mini-vidange. Quelle réaction la petite eu en voyant la bande de mon caleçon tacheté de rouge: "Ah, on t'as réglé dessus! C'est dégelasse..."
"Mais non, mais non, c'est du passoa"lui répondis-je sereinement car j'étais sûr de ne jamais être crédible...mais bon comme on dit: c'est les aléas du direct!

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