samedi 13 septembre 2014

Un maître-nageur spécialiste du bouche à bouche.




J’ai commencé mon travail à la piscine d’un camping début juillet. Et je vous avoue, je pensais que le lieu paradisiaque à deux pas de la plage allait me donner nombre de possibilités de rencontres. Pourtant, tel n’a pas été le cas tout de suite. Le camping étant un quatre étoiles, le tarif à la semaine était plutôt onéreux, ce qui boutait loin de mon camping toutes les nombreuses filles en vacance dans le coin. Toutes ? Non ! Il y’avait bien ces petites venues en famille, toutes plus fraîches les unes que les autres…mais la loi ayant décidée de placer la majorité à 18ans, je m’interdis catégoriquement de toucher à ces petites bien qu’elles soient formées avant même atteint l’âge légal. J’en ai vu passer des 16/17ans qui étaient à mon goût. Heureusement, ma morale est quelque chose à laquelle je tiens énormément ce qui me coupe toute envie une fois l’âge dévoilé. Dans mon malheur, j’ai quand même trouvé quelques histoires à vous raconter. 

    Tout d’abord, Marion, qui travaillait à un peu moins d’une heure de route d’ici et qui avait profité du passage de sa famille dans le camping pour passer une semaine de vacance en leur compagnie. Le truc qui est bien quand on travaille à la piscine c’est de ne pas pouvoir être trompé sur la « marchandise ». Vous savez ces filles qui savent extrêmement bien s’habiller de façon à cacher leurs formes ou imperfections corporelles, elles ne pouvaient rien faire une fois arrivées à la piscine en maillot dans la bassin, ce qui me permettait de pouvoir exactement juger de ce sur quoi je m’engageais. Et c’est le cas de Marion, qui avait des arguments de poids tout en gardant une ligne assez fine. Elle finissait souvent le taff vers 17h30/18h et filait au camping rejoindre ses proches à la piscine juste avant ma fermeture de 19H. J’ai donc pu en profiter pour échanger avec elle car en fin de journée il y’a sensiblement moins de monde et donc moins de boulot. Je lui ai proposé une soirée sur la plage et récupéra ainsi son numéro. Le soir même, le temps n’était pas au beau fixe et je décidais de remettre au lendemain notre petite escapade. Le lendemain, veille de son départ, je la retrouve au camping après qu’elle ait mangée au restaurant avec ses proches. Je lui propose donc d’aller à la plage avec une bouteille de rosé et ma guitare. Elle accepte sans hésitation aucune. L’échange est cordial sur le chemin et les quelques accords joués à la gratte sur le sable me permettent de sentir une réelle attraction. J’en profite pour l’embrasser à maintes reprises, puis de lui proposer d’aller sur une petite crique sympa pour lui faire visiter le coin. On prend sa voiture et s’installe donc en ce lieu où il n’y a pas un chat et où la pénombre est reine. L’entrelacement de langues se fait de plus en plus langoureux et la chaleur commence à monter sur les galets. Elle commence à me défaire le bas pour s’occuper de moi à l’aide de ses mains. Malheureusement, elle ne voulait pas plus ! Nous rentrons donc au camping et me demande de la raccompagner un peu. Je m’exécute et me retrouve finalement à faire le tour du camping avec elle. Jusqu’au moment où la nuit se fait plus sombre et où nos actes libertins reprennent le dessus. Adossé à un mobil home, je la laisse parcourir mon corps avec ses mains, avec sa bouche, elle s’agenouille pour me donner un petit souvenir ayant pour seul but de me « fidéliser » et s’assurer ainsi une prochaine fois. C’est entendu, tu repars à ton appart mais nous nous reverrons ! Une semaine plus tard elle revient dans le coin pour passer la nuit avec moi. J’avais ce que l’on peut appeler une garçonnière dans le coin car, bénéficiant du départ de mon grand-père en vacances, je devais passer de temps à autre pour vérifier que tout allait bien là-bas et étais donc en possession des clés. Nous avons fait ça deux fois…même si je la sentais un peu sur la retenue, ce fût une bonne soirée passée avec une jolie blonde aux yeux bleus originaire d’alsace.



     Le dimanche suivant, me voilà en train d’errer dans le camping entre le préau où il y a le baby-foot et le bar/restaurant où j’avais repéré une famille qui mangeait un peu plus tôt avec deux jolies filles à leur table. En revenant donc vers le restaurant, je croise les parents, mais à ma grande surprise, non accompagnés des filles. Je me dirige donc vers le billard du bar pensant que les deux petites avaient dû y faire un petit tour car c’est là où les jeunes se trouvent de temps à autre. A peine le temps d’arriver sur ce lieu que je les vois sortir des toilettes qui se trouvent juste à côté du billard. Sans attendre je m’adresse à elles dès leur arrivée à ma hauteur. Elles ont l’air quand même jeunes alors je ne perds de temps : « excusez-moi, vous avez quel âge ? ». 18 et 15…très bien, si je vise juste, personne ne pourra me traîner en justice. Je leur propose donc de s’asseoir pour boire un verre au bar. J’apprends qu’elles sont sœurs et qu’elles doivent partir le lendemain soir alors qu’elles n’étaient arrivées que le jour même, je dois agir vite. L'aînée, Amélie était une merveilleuse brune d’1m70 qui avait tout pour plaire. Un corps élancé, des seins d’une taille parfaite, assez gros pour être imposants, mais pas assez pour les faire tomber. Après une petite demi-heure de discussion, je leur propose d’aller –encore et toujours- à la plage. Elles sont partantes ! Cool, même si j’aurai préféré que la plus jeune ait un couvre-feu. Nous voilà donc à la plage avec ma guitare et je ne tarde pas à nous incruster dans un groupe plutôt avenant et surtout d’une composition mixte. Les musiques à la gratte défilent et les verres d’alcool aussi jusqu’au moment où nos nouveaux amis décident de partir car certains travaillent le lendemain. Je me retrouve donc dans la configuration de départ, gêné par la présence de la petite sœur qui pourrait juger les agissements de ma belle Amélie. J’avais pourtant essayé de nous en éloigner lorsqu’il y’avait encore du monde : je lui avais dit de me suivre un peu plus loin car le groupe s’était momentanément scindé en deux. Mais c’est sans hésitation que la petite sœur nous a emboîtés le pas, évitant ainsi que nos rapprochements physiques débutés un peu plus tôt à la lumière ne se concrétisent dans la pénombre. 

  Elle commençait donc à sérieusement contrecarrer mes plans. Heureusement, dame nature vint à mon secours et la petite fût dans l’obligation de nous quitter quelques instants pour aller se soulager un peu plus loin. Je ne rate pas cette petite fenêtre de tir et goûte au plaisir des lèvres d’Amélie dans la foulée. Une fois la chose faîte, la jeune se sent forcement de trop et je lui propose d’arrêter de tenir la chandelle en la ramenant à son mobil home avec sa sœur. Une fois la chandelle déposée, nous repartons sur la plage où nous avions laissé une bouteille récupérée dans le groupe précédent. Sur le chemin, je croise des jeunes qui travaillent au camping et qui m’annoncent que « tout le monde » est sur la plage et qu’il faut que je vienne. Sans problème, mais avant nous avons une bouteille à récupérer et nous faisons intelligemment le choix de descendre une bonne partie de celle-ci avant de la ramener au groupe. Mais pas que ! Nous nous chauffons à tel point qu’elle monte à cheval sur moi et me caresse un peu partout tout en m’embrassant. Je ne suis pas en reste pour ma part en passant ma langue sur ses seins et mes mains sous son short pour la caresser à travers son string. A un moment, quand l’excitation est à son comble, je l’arête et lui dis : 

-Tu viens ?

-Où ?

-On va à la voiture, j’ai une maison pour moi en ce moment.

-Mmmh…non j’ai un copain.

Et voilà pourquoi il ne faut jamais se mettre en couple si jeune…trop de tentations, "pas assez d’expérience pour pouvoir refuser les expériences". Mais bon passons, bien qu’elle soit en zone rouge niveau infidélité, elle n’a pas passé le cap et c’est tout à son honneur. Je propose donc de rejoindre mes amis du camping qui étaient à côté. J’arrive donc au groupe et me pose sur une immense couverture posée sur le sable. La soirée suit son cours et je fais attention à ne pas trop donner d’attention à Amélie histoire de la « punir ». Le temps passe et je me rapproche peu à peu d’elle jusqu’à avoir ma tête sur ses genoux, elle m’embrasse de nouveaux. Au bout d’un moment, les réserves d’alcool étant à sec, une majeure partie du groupe se décide à retourner au camping chercher une bouteille. Il reste donc Amélie et moi d’un bout de la couverture et deux mecs un peu perchés sur une serviette collée à l’autre bout de la couverture, ainsi que la nuit noire pour me permettre d’agir en toute impunité. Les bisous se font de plus en plus intenses et ma main a décidé de passer la seconde, elle se glisse par le bas du court short d’Amélie et infiltre mes doigts sous son string pour la doigter en toute discrétion à deux mètres seulement de deux inconnus! Je retente ma chance en lui disant : « bon écoutes si tu veux on va à la caisse et on ne va pas chez moi mais viens on va se caler à une petite crique sympa qui est pas trop loin ». Oui vous l’avez reconnue, c’est la même ! La tension sexuelle l’oblige sur le moment à reconsidérer sa réponse initiale…et après un petit moment d’hésitation elle me répond non.



     Bon j’ai compris, il faut battre le fer quand il est chaud. Dans l’hypothèse où il n’y aurait eu personne sur la plage je sais très bien que ça se serait fait. J’attends donc que mes amis reviennent avec leur bouteille pour pouvoir leur dire au revoir et commence à rentrer avec ma belle Amélie. Elle ne le sait pas encore mais je n’ai pas encore joué toutes mes cartes…Sur le chemin du retour je lui dis, "attends faut que je pose la bouteille à la voiture avant de te raccompagner"-la fameuse bouteille qu’on avait laissé sur la plage! décidément, c’est le fil rouge de cette soirée-. Ma voiture étant garée pile en face des grilles de l’entrée du camping, elle était aux yeux et vues de n’importe quel passant se baladant sur la route vers 3/4H du mat’. Elle me suit…malheur à elle ! Une fois la bouteille posée dans le coffre, je me tourne vers elle et l’embrasse à nouveau, commence à descendre dans son cou…l’excitation est à son comble, je la touche et commence à baisser le pack bermuda/boxer…elle me masturbe, je me frotte à elle, je la sens toute mouillée et sais qu’elle ne veut plus qu’une chose. Je la porte jusqu’à l’asseoir sur le capot et tout en l’embrassant j’enfile une capote que j’avais dans ma poche. Je ne voulais pas casser ce moment intense en lui enlevant son short, ce qui aurait tué la dynamique. Heureusement, les shorts sont aujourd’hui tellement courts qu’ils ne deviennent plus qu’un « sous-vêtement d’extérieur »…suffisant pour que je puisse l’utiliser comme tel en le « mettant de côté » et en m’insérant en elle alors qu’elle était toujours habillée. Je suis au paradis ! Cette fille est vraiment splendide et je fais ça devant mon camping sur le capot de la voiture. Mon patron aurait pu passer et me virer sur le champ. Par chance il n’en a rien été et j’ai pu la retourner pour la pénétrer par derrière en ayant pris soin de baisser son short dans le mouvement. Je finis, je suis aux anges !

      Habituellement, le moment que je préfère avec une fille –émotionnellement parlant- c’est l’après coucherie ; car après être redevenus des bêtes, tous les tabous tombent et la fille parle plus librement, sans pression et sans crainte. Mais là, alors que j’aurai adoré que ça se passe de la sorte car c’est dans ces moment-là que je tisse de véritables liens avec la fille, je ne sais pourquoi mais je l’ai sentie beaucoup plus distante. Peut-être qu’elle culpabilisait par rapport à son copain…d’ailleurs je tiens à dire qu’elle avait déjà fait des bêtises par le passé et que je n’ouvrais donc pas la porte à la tromperie mais que j’avais plutôt glissé le pied dans la porte avant qu’elle ne se referme. Toujours est-il que le lendemain elle n’est pas passé à la piscine. Elle devait dans la journée voir des amis qui étaient dans le coin. Je n’aurai donc aucun autre contact avec elle bien que ça me désole : aucun numéro, pas même un facebook. Un ange était passé, mais n’a pas voulu donner suite de peur de se brûler les ailes.

    Le lendemain donc, elle n’était pas passée, mais je crû pourtant la voir quand une de ses copies conformes passait devant moi à l’entrée de la piscine. Je l’ai donc fixement regardée pensant que c’était ma petite Amélie qui ne daignait me dire bonjour. Mais ce n’était pas le cas et je m’en suis expliqué auprès de cette fille qui avait en fait 16 ans et qui, bien que plus petite de taille, avait les même traits de visage et des cheveux aussi beaux. Cette petite est devenue un peu ma confidente de la semaine car elle restait avec moi la plupart du temps à la piscine et ça m’occupait un peu mes journées de travail un peu monotones à la longue. 

     Mais ce jour-ci, j’ai aperçu une belle blonde qui avait l’air étrangère et il ne me fallût qu’une possibilité pour pouvoir la « démarcher ». Elle était avec sa petite sœur aux toilettes de la piscine qui sont juste à côté de l’endroit où je place ma chaise pour surveiller. Il faut savoir qu’il y’a deux toilettes, la petite sœur était dans l’un alors que la belle blonde attendait dehors. Je lui dis tout bêtement – en anglais- qu’elle pouvait utiliser les autres car ils étaient libres. Elle me répond qu’elle est juste venue accompagner sa sœur. Par la suite, nous continuons de discuter et sa sœur nous laisse tranquille, le temps que j’envoie ma proposition de soirée sur la plage. Quoi ? Vous connaissez déjà l’histoire ?! Je prends son numéro et tout en sachant qu’il y’a une « soirée-dj » au camping ce lundi soir (oui c’est le lendemain de ma soirée folle avec Amélie rappelons-le), je lui dis qu’on s’y retrouvera sûrement. Je l’appel en début de soirée après avoir réussi à traduire son numéro italien pour mon téléphone français, et m’assure de sa venue à la soirée. Dans la journée j’avais aussi échangée avec une femme d’une quarantaine d’année qui m’avait expressément demandé de faire attention à sa belle-fille -et c’est le cas de le dire elle, était vraiment pas mal- et si besoin est, de la sauver de la noyade. J’étais allé parler à cette petite de 20 ans, mais elle avait malheureusement le problème local : c’était une cagole. Tant pis de toute façon elle sera normalement partie ce soir car elle était juste passée pour voir son père et sa belle-mère pour le weekend vu qu’elle travaillait sur Montpellier le lendemain.



      J’arrive à la soirée du camping et je la croise quand même. Je la prends par la main et l’emmène danser. Pas folichonne, j’aurai peut-être pu l’embrasser mais je ne sentais pas que le feeling passait plus que ça alors j’ai préféré attendre. Entre temps je retrouve mon étrangère de la journée qui s’appelle Giulia et qui est italienne de son état : pour une blonde à la peau blanche c’est plus que surprenant ! J’ai même croisé la petite de 16ans que j’avais confondu avec Amélie. Le temps de fumer une clope, j’entends « happy » de Pharell, une musique sur laquelle j’adore danser. Je dis donc à Giulia de venir danser en allant sur le terrain de sport – transformé pour l’occasion en piste de danse– et la petite me suit sans sourciller. A ma plus grande surprise, elle bouge magnifiquement bien, elle a la musique dans la peau et ça se sent. N’étant moi-même pas en reste quand il faut bouger mon corps je la prends par la main pour que l’on se retrouve tous deux sous les feux des projecteurs juste devant le DJ ébahit par notre démonstration de danse (oui il l’était ! on en a parlé après vu que c’est mon pote et je lui ai bien précisé que c’était une des seules majeures du camping, Giu avait 19ans). 



     Je traîne ensuite tout ce beau monde –la cagole, l’italienne, le sosie d’Amélie et son meilleur ami qui ne servait à rien– à la plage. On rejoint un groupe de jeunes du camping et passe tranquillement la soirée. La cagole part un peu tôt et j’en profite pour entraîner Giulia à m’accompagner dans un autre groupe où il y’a une guitare. Eh oui j’ai innové, je n’ai pas pris la mienne ce soir-là ! Le temps de jouer une ou deux chansons et d’embrasser mon italienne sur le chemin du retour vers notre groupe initial. Bon la suite vous la connaissez je pense…crique, fellation, cunni et... stop ! Il y’avait un peu trop de monde donc cette fois-ci ce n’est pas la volonté de ma belle qui manquait, mais bel et bien le calme de mon endroit fétiche. On est donc allé dans ma garçonnière histoire de finir nos affaires…deux fois !
     S’en est suivi le lendemain où je ne travaillais pas et où j’en ai profité pour voir une de mes relations de Marseille. Et comme cela ne suffisait pas, le surlendemain donc, une autre fille de Marseille –que j’avais dépucelé il y’a seulement un mois– devait venir passer la soirée avec moi. Or j’avais encore envie de l’italienne que j’avais prévenu qu’il se pourrait que je passe à la plage mais que je serai déjà accompagné. Ça ne l’a pas émue outre mesure et est même allée jusqu’à coucher avec moi dans le local « pool-house » après que j’ai fini mon taff. Le soir à la plage, j’étais avec la marseillaise toute fraîchement devenue adulte, mais aussi l’italienne et la petite de 16ans. Je voyais tous ces renards traîner autour de Giulia sans même que je ne puisse réagir mais je sentais au fond de moi que de me voir accompagné par une autre ne faisait que démultiplier son désir pour le brave connard que j’étais à ce moment-là. Oui car ce n’est pas moi qui ai dit à Giu de venir à la plage, c’est le sosie d'Amélie, alors que je l’avais prévenue –vu que c’était ma confidente– de ne pas le faire à cause de la présence d’une autre. La suite de la semaine fût vraiment inoubliable avec cette blonde aux yeux bleus perçants, les capots de voitures y sont passés en pleine garigue, et même sous la pluie ! La crique fût enfin immortalisée par les gémissements ritals. J’adorais ses petits « si !si !si ! Odio ! » qui me rappellent que, en VO, c’est quand même mieux. L’intérieur de la voiture a aussi connu un échange franco-italien allant même jusqu’à ce qu’elle me fasse « des bisous » en dessous de la ceinture en pleine conduite. Le lendemain elle est partie. Elle est passée à la piscine pour me dire au revoir et je lui ai promis de ne pas l’oublier. Et c’est vrai je ne l’oublierai pas, elle qui m’a avoué deux jours avant : « it’s the craziest week of my life ».

   C’est tout pour mes folies au camping. Néanmoins, l’été restant l’été, j’ai évidemment joué sur plusieurs tableaux. Mais ça, c’est une autre histoire…

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