mercredi 12 novembre 2014

Summer 2014 (Part 2)


   Fin d’été, aux alentours de la troisième semaine d’août. Je devais fêter mon départ pour une contrée lointaine obligatoire pour mon entrée dans une des nombreuses écoles de commerce de France. Et pour l’occasion j’ai décidé de fêter mon départ chez une de mes meilleures amies. Or celle-ci me connaissant bien, elle m’a dit que je pouvais ramener qui je voulais. Et tant mieux car j’avais tout un plan dessiné dans ma tête. En plus de mes amis les plus proches (Simba, Dirt et autres), j’ai voulu inviter la petite Amélie et sa copine à se joindre à nous.

   Or la question qui se pose maintenant est : mais qui est cette petite Amélie ? La réponse ne va peut-être pas vous étonner mais il va falloir revenir quelques mois en arrière pour l’expliquer.



    Nous voilà, Dirt et moi-même, dans notre désormais célèbre « irish pub » préféré. Le couz’ avait déniché une petite blonde qui était une de mes anciennes voisine de ma résidence étudiante. J’ai toujours voulu la serrer, mais à l’époque je couchais déjà avec une autre voisine qui était –de surcroît- l’amie de cette blonde. Bon et puis elle avait aussi un copain cette blonde…quoi que, la voisine avec qui je couchais en avait aussi un au début :p
Enfin bon dans tous les cas, j’étais content qu’elle finisse par succomber au charme de quelqu’un de la famille, ça me suffisait amplement. Concernant ma soirée d’un point de vue personnel, elle tardait à réellement décoller. Nous décidâmes donc d’aller à la boite qui est juste à côté où nous avons là encore nos entrées. Là-bas, la blonde de Dirt avait suivi mais s’était aussi rapidement détachée de lui, à tel point qu’il l’avait perdu au bout de 10 minutes. Bon, en temps normal c’est une habitude de laisser vivre leur vies aux filles, surtout quand elles sont avec des amies, mais celle-ci n’était pas comme les autres et j’allais l’apprendre assez tôt. Après donc avoir quelque peu démarché en faisant le tour des deux salles, je repère deux petites assises sur des canapés et ayant l’air de se faire royalement chier. Je continu ma route pour arriver dans le couloir et constater que la fille de Dirt était dans les bras d’un autre. Je me retourne pour le dire à Dirt et m’arrête avant même de lui expliquer pour éviter que son moral n’en prenne un coup et lui dit : « laisse tomber l’autre, j’ai repéré deux filles là-bas, c’est du pain béni, j’en branche une et tu prends l’autre ». L’invitation était évidemment trop belle pour qu’il refuse. Sans réelle planification, tout ça s’est magnifiquement bien déroulé avec une synchronisation qui pourrait faire penser que tout ceci était naturel.

    L’échange est plutôt bon avec la mienne mais je vois que Dirt est physiquement bien plus avancé que moi avec l’autre. J’attends donc qu’il prenne les devants pour l’embrasser…ensuite, je comptais sur l’effet miroir pour goûter aux lèvres de cette belle Amélie (eh oui c’est bien elle !). Or ce brave enculé prend tout son temps et ne sens pas le besoin de passer à l’action. Mais le renard que je suis a plus d’un tour dans son sac et c’est avec une routine vieille comme le monde appelé « jeu des cinq mensonges » que j’arrivais à mes fins. Et évidemment le Dirt tout content de profiter du mirroring dans la foulée ne s’est pas laissé prier pour embrasser la sienne. Je propose ensuite de continuer la soirée chez moi car il était bien 4H du mat’ passé et je craignais que le jour ne fasse s’envoler les tensions sexuelles palpables. Après avoir pris le métro nous voilà chez moi à bouffer des chips et à boire du vin…ou du whisky, j’avoue ne plus me souvenir, le tout en faisant un jeu d’alcool.

     L’after s’apaise peu à peu et chacun sur son lit : Amélie et moi sur un et Dirt et la copine d’Amélie sur l’autre, s’allongent et commence à se chauffer. Mais Dirt avait l’avantage d’avoir une couverture…ce qui lui a permis de faire certaines choses à couvert alors qu’Amélie et moi étions juste emboîtés moi entre ses cuisses mais encore tout habillés. Oui car précisons que je n’ai qu’une pièce et que les deux lits sont juste perpendiculairement disposés, ce qui empêche – à moins d’une orgie/plan à 4- toute démonstration corporelles dénudées.

   C’était donc elle la fameuse Amélie et elle était partie avec sa copine sur les coups de 7h du mat’ sans même me laisser son numéro. C’était environ deux mois avant ma fameuse soirée de départ. Entre temps je l’avais retrouvée sur facebook et avait un peu échangé avec elle, Dirt avait quant à lui consommé avec la copine d'Amélie. J’avais même fais une soirée avec Dirt et sa copine sans qu’Amélie ne passe car trop fatiguée ce soir-là.




    Mais à ma soirée de départ, elle avait répondue présente ! Et ce pour mon plus grand plaisir car   elle n’habitait pas très loin de chez mon amie. Elle arrive donc après moi avec Dirt et sa copine. L’échange se passe bien, mais elle ne connaît pas grand monde et est plutôt du genre timide. Nous sortons ensuite dans un bar pour rentrer un peu plus tard chez elle avec mon frère d’arme et sa copine. Une bouteille de rosé plus tard, chacun a sa chambre et je goûte enfin au plaisir de dévoiler son corps. Depuis le temps que j’attendais cette fin heureuse je l’ai d’autant plus savourée car je vous avoue qu’avec un laps de temps pareil je n’y croyais plus à la fin. Et quel corps !! Courbure dos/fesses parfaite, une petite bouille des plus mignonnes et de longs cheveux bruns dans lesquels perdre ses mains. On l’a fait trois fois jusqu’au petit matin... juste ce qu’il faut pour que je me lève et retourne travailler.

    Le lendemain c’était en effet mon dernier jour de mon job d’été. J’ai donc pris le temps de dire au revoir à toutes mes connaissances du camping après avoir finis à 19h et j’ai pris le train dans la foulée à 22h. Oui, j’ai en effet dû m’envoler pour d’autres horizons pour intégrer une des nombreuses écoles de commerces de France. Ma pré-rentrée était la dernière semaine d’août. C’était tôt certes…mais ça m’a laissé d’autant plus de temps pour m’acclimater à cette nouvelle ville et aux nouvelles frasques à venir ;)

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